F911 Westdiep : London, dernier voyage sous pavillon belge (souvenir.. 17/09/2007)

http://www.dsei.co.uk/





"La dernière frégate belge de la classe Wielingen à être en service, le BNS WESTDIEP, nous honore de sa présence au DSEI pour sa dernière visite opérationnelle avant d'être revendue à la Marine de Bulgarie. Le Westdiep est propulsé par une turbine à gaz Rolls-Royce Olympus et a 2 propulsions auxiliaires diesel ABC, et peut naviguer à 26 noeuds. Construit par Boelwerf, il a été lancé en 1976 et a été commissionné durant 29 ans. L'armement inclus un lanceur Sea Sparrow RIM 7P, MM38 Exocet, un canon Creusot Loire 100mm, des torpilles de 21" et un lance-roquettes anti-sous-marins de 375mm."



source photo
http://wielingen1991.userboard.net/f911-westdiep

Join the Belgian Navy! La Marine engage.. un peu mais quand même (recrutement 2010)

http://www.mil.be/jobsite/
33 places ouvertes [nb : pour 2010]
Matelot du Service nautique (m/f) 1 place
Sous-officier détecteur anti-submarine warfare / anti-surface warfare (m/f) 2 places
Matelot détecteur à bord d'une frégate 1 place
Matelot détecteur à bord d'un Chasseur de mines 2 places
Plongeur démineur (m/f) 3 places
Étudiant à l'Ecole supérieure de navigation d'Anvers (m/f) 1 place
Étudiant ingénieur industriel pour la composante Marine (h/f) 1 place
Etudiant Master en sciences maritimes et militaire (h/f) 3 places
Etudiant Master en sciences de l'ingénieur civil pour la composante Marine (m/f) 1 place
Matelot cuisinier (m/f) 4 places
Maître cuisinier (m/f) 2 places
Officier de pont (recrutement sur diplôme) (m/f) 1 place
Sous-officier du service technique à bord d'un navire de la Marine (m/f) 2 places
Sous-officier technicien-propulsion (mécanicien) à bord d'un navire de la Marine (m/f) 2 places
Sous-officier technicien d’armement communication à bord d’un frégate (m/f) 1 place
Matelot du Service technique à bord d’une frégate (h/f) 2 places
Matelot du Service technique à bord d'un chasseur de mines ou du navire de soutien logistique (m/f) 2 places

Tenir bon dans la mer en furie (Napoléon)

"Nous sommes donc réduits à rester en Egypte. C’est bien! Il faut savoir relever la tête au dessus d’une mer en furie : elle finira par se calmer! Peut-être sommes-nous destinés à changer la face des choses en Orient. Il nous faudra mourir ici ou sortir grands comme les anciens."
Napoléon Bonaparte




Aboukir (Bataille navale). Le 14 thermidor an VI (1er août 1798), la flotte française commandée par l’amiral Brueys et composée de treize vaisseaux, fut subitement attaquée en rade d’Aboukir par la flotte anglaise de l’amiral Nelson, et composée de 14 vaisseaux. Les Français se battirent avec acharnement et avec un courage au-dessus de tout éloge, mais l’infériorité du nombre et une fausse manoeuvre de l’amiral Brueys donnèrent aux Anglais l’avantage. Les pertes des deux côtés furent immenses. Du côté des Français le vaisseau l’Orient de 120 canons sauta, le Timoléon de 74 canons brûla, la frégate l’Arthémise fut coulée bas, neuf autres bateaux furent pris, l’amiral Brueys fut tué, ainsi que le capitaine de vaisseau Casabianca, ancien conventionnel. Le perte des Anglais d’après leur propre aveu, fut de 1.000 hommes tués et 1.800 blessés, dont l’amiral Nelson ; plusieurs de leurs vaisseaux furent mis dans l’état le plus pitoyable. Aboukir est un bourg de la basse Egypte à 17 kms N.O. d’Alexandrie, sur la Méditéranée ; il est situé à l’extrémité d’une presqu’île formée par le lac Madieh et la mer, près d’un fort construit sur un rocher qui en est la pointe extrême.
(Extrait du "dictionnaire sur la Révolution et l’Empire," Dr Robinet)


a lire sur wikipedia : Bataille navale d’Aboukir